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De nombreux préjugés circulent autour de la scolarisation à domicile. Les familles font souvent face à l’incompréhension, voire à des critiques de la part de l’entourage. Pourtant, lorsqu’il est bien encadré via un établissement d’enseignement à distance sérieux, ce mode de scolarisation offre à l’enfant la chance d’une pédagogie individualisée de qualité. Et rien n’empêche de réintégrer l’école traditionnelle ultérieurement si l’enfant le souhaite.
On les appelle « surdoués », « précoces », « décalés », « zèbres » ou encore EHP, EIP, HQI, HPI… Les qualificatifs et les acronymes ne manquent pas pour caractériser ces enfants à haut potentiel. Bien qu’il existe différents degrés de précocité, ces enfants « plus intelligents » que la moyenne de leur classe d’âge ne se réduisent pas à un QI. Leur fonctionnement et leur mode d’apprentissage est différent, d’où de fréquentes difficultés d’intégration à l’école. Pourtant, lorsqu’ils sont bien accompagnés, ces enfants s’épanouissent et peuvent exprimer tout leur potentiel.
Avant de sauter le pas de l’enseignement à distance, les premières interrogations des parents concernent le rôle à tenir auprès des enfants : comment trouver la bonne distance ? Devrai-je être présent(e) à 100% ? Suis-je suffisamment qualifié(e) ? Finalement, bien peu de parents regrettent leur choix, quelle que soit la durée de l’enseignement à distance, l’expérience est toujours enrichissante pour l’enfant et pour toute la famille.
Opportunité professionnelle à l’étranger, envie de vivre au rythme d’un autre pays et de découvrir une autre culture : l’expatriation s’apparente à véritable aventure familiale. La question de la scolarité des enfants à l’étranger constitue en revanche une source d’inquiétude fréquente pour les parents. Comment inscrire les enfants dans un établissement ? Lequel choisir ? S’adapteront-ils au nouveau système scolaire ? Pourront-ils terminer l’année sans difficulté ? A leur retour en France, quel sera leur niveau scolaire, notamment en français ?
Votre enfant fait des crises de panique, pleure ou se plaint de douleurs physiques au ventre au moment de partir à l’école ? Ces signaux se multiplient et deviennent de plus en plus fréquents ? Il s’agit peut-être de phobie scolaire. Également nommé « refus anxieux¹ de l’école » par les professionnels de santé, ce phénomène est en augmentation mais encore méconnu. Il se manifeste par l’incapacité répétée et durable de se rendre en cours, signe d’une réelle souffrance pour l’enfant. Comment détecter les signaux d’alerte à temps et éviter l’aggravation de la situation ? Que faire pour aider son enfant ?
Souvent résumés à tort sous le terme d’hyperactivité, les troubles de l’attention sont aujourd’hui de mieux en mieux connus et diagnostiqués par le monde médical. Malheureusement, le repérage de ces troubles, comme leur prise en charge, fait encore trop souvent défaut en milieu scolaire. Pourtant les enfants TDA/H ne souffrent d’aucun retard intellectuel et ont toutes les capacités pour réussir leur parcours à condition de bénéficier d’un cadre adapté. L’enseignement à distance s’avère une solution lorsque l’école présentielle devient un lieu de souffrance qui éloigne des apprentissages.
Les troubles spécifiques du langage et des apprentissages (TSLA) dits « troubles DYS » toucheraient 6% à 8% des enfants par classe d’âge, selon les estimations récentes de la HAS. Très divers de par leur nature et leur intensité, ces troubles sont durables et persistent tout au long de la vie. Ils entraînent de réelles difficultés dans la vie personnelle et scolaire de l’enfant. Pourtant des solutions existent…